« tienne Didot m’a beaucoup aidé » / España / Rayo Vallecano / SOFOOT.com

Gran artesano de la remontée en Liga d’un Rayo Vallecano dont il est le capitaine, l’ancien Toulousain scar Trejo est actuellement sur un petit nuage. Meilleur passeur de Liga avec neuf ofrandes, soit deux de plus que Karim Benzema, l’Argentin espère désormais guider les siens jusqu’en Coupe d’Europe en fin de saison. Sans oublier que de ce côté des Pyrénées, il est surtout connu pour ses sucreries offerstes sous le maillot du TFC, le maintien fou arraché en 2016 et son éternel sourire.

Le Rayo Vallecano vient de remonter en Liga et lutte pour une Qualification européenne. título individual, tu es meilleur passeur du championnat. Tout va bien en ce moment ?
Je suis très heureux de ce qui est en train de se passer avec cette équipe. D’abord remontar en Liga, puis tre dans cette position est quelque escogió de très important pour nous. a change beaucoup de chooses de pouvoir évoluer dans ce championnat, l’un des meilleurs du monde, où n’importe quel joueur a envie de jouer. Ensuite, finir meilleur passeur est un très bel objectif, même si j’espère surtout que l’équipe pourra se battre pour de belles chooses.

Tu accordes plus d’importance délivrer une bonne passe ton attaquant que de marquer un but, par exemple ?
Totalidad, oui. J’essaie toujours de chercher comment servir mes coéquipiers dans la meilleure disposition. C’est ce qui me rend heureux sur le terrain, surtout quand il ya une passe qui amène un but. Je suis content pour tout le club, la ville. Aujourd’hui le football est fait de beaucoup de statistiques et de chiffres, où il faudrait toujours faire les chooses de manière parfaite, mais c’est imposible.

« Quand tu recrutes Radamel Falcao, un montre que tu as envie de faire de belles chooses. Pour moi il est unique, n’importe quel ballon qui lui llege es sinónimo de peligro. »

Tu as évolués de nombreux postes dans ta carrière. Où te sens-tu le mieux ?
Je dirais juste derrière l’attaquant pour pouvoir participer le plus posibles ofensivas auxiliares. Je me définirais comme un joueur creative, qui aime tre toujours connecté avec les autres joueurs, trouver la bonne passe.

Justement, depuis cet été tu peux servir a Radamel Falcao, que le Rayo Vallecano a recruté. Il est comment au quotidien ? Quelle relacion as-tu avec lui sur le terrain ?
C’est super de pouvoir s’entraîner au quotidien côté d’un joueur comme lui. Quand tu recrutes Radamel Falcao, un montre que tu as envie de faire de belles chooses. Sobre una relación une très bonne, c’est quelqu’un de trs simple, humilde. Il rend les chooses faciles. On apprend se connaître au fur et mesure. Pour moi il est unique, n’importe quel ballon qui lui llege es sinónimo de peligro.

Il ya bientt neuf ans, toi tu arrivais au Toulouse Football Club. Qu’est-ce qui t’a amené dans ce club ?
Je faisais la preparación avec le Sporting Gijon et Casanova m’appelle directement pour savoir si je voulais venir jouer en France. videmment, pour moi c’était une belle opportunité même si je ne connaissais pas beaucoup le championnat, pour tre honnête. Il m’a beaucoup parlé et le défi semblait excitant.

L’experiencia t’a plu ?
Oui, avec ma famille, nous avons aimé cette ville. Au début c’était un peu difficile pendant l’hiver, mais Casanova m’a beaucoup aidé, ainsi qu’Étienne Didot. Il a été un pilier fundamental. Lui et sa famille m’ont beaucoup aidé, que ce soit dans l’aspect footballistique ou staff. La principal diferencia en Francia con la vida en Espagne o en Argentina, ce sont les horaires (Risas.). Ici, tu manges plus tard, les gens restent longtemps dehors faire plein de chooses. Dès qu’on pouvait, on allait chez des amis Barcelone ou Saint-Sebastien, on allait visiter, faire un peu de tourisme.

Quelles différences as-tu remarquees entre la Liga et la Ligue 1 en matière de jeu ?
Le championnat de France est beaucoup plus physique que la Liga. En Espagne, en pense d’abord au ballon. a a change beaucoup de chooses pour moi de jouer en France, c’était une belle aventure.

« Retourner en Espagne était une decision personalle, même si beaucoup de personnes n’ont pas compris mon choix d’aller jouer en deuxième division espagnole. »

En 2016 lors de la fin de saison folle qui permet au TFC de se maintenir, Pascal Dupraz te met sur le banc lors de son arrivée. Comentar as-tu vécu cette fin de saison incroyable pour le club ?
C’était une decision du Señor. Il fallait l’accepter et tout faire pour l’équipe parce que finalement, on a réussi rester en première division. Je me souviens très bien de mon but contre Troyes, c’était l’avant-dernier match de la saison (victoria 1-0 decisiva para el mantenimiento, NDLR). Toute ma famille était là dans le stade, c’était un match super important. L’ambiance au Stadium ce jour-là était absolument incroyable.

L’année suivante tu es el líder ofensivo de l’équipe et tu réalises une belle saison. Pourtant, tu as choice de retourner au Rayo, qui était en D2.
Oui, c’est probablement ma meilleure saison en Ligue 1, avec l’opportunité de jouer un poste qui me convenait mieux. Retourner en Espagne était une decision personalle, même si beaucoup de personnes n’ont pas compris mon choix d’aller jouer en deuxième division espagnole. Le football est très important pour moi, mais il y en a d’autres plus importantes encore comme la famille et, ce moment-là, c’est ce qui a primé.

¿Tu continúa suivre les résultats de Toulouse aujourd’hui?
Bien sur! Surtout que l’équipe joue vraiment bien. Malheureusement la saison dernière ils ont perdu en barrages, mais j’espère que le club retrouvera rapidement sa place en premier division. Ils ont de trs bons joueurs et j’aimerais beaucoup revenir un jour voir un match au Stadium, retrouver la ville. Mon fils est né Toulouse et il me demande tout le temps quand est-ce qu’on va retourner va un voir là-bas (Risas.).

Plusieurs de tes anciens coéquipiers Toulouse ont ensuite rejoint la Liga, comme Ben Yedder ou Braithwaite. Tu es toujours en contact avec eux ?
Oui, je parle encore avec plusieurs d’entre eux, notamment Serge Aurier (aujourd’hui Villarreal, NDLR). a me fait plaisir parce que maintenant j’ai le droit de leur parler en espagnol (Risas.).

« Pour Messi, aller Paris est un changement important, un processus qui doit suivre son cours. Mais je crois que la situación va a mejorar. […] Avec le Mondial qui llegue la fin de l’année, il voudra tout faire pour tre en grande forme. »

Qu’as-tu pensé de l’arrivée de Martin Braithwaite Barcelone ?
J’étais un peu sorpris. Mais c’est un bon mec et Barcelone cherchait un attaquant. Il y avait quatre ou cinq noms sur la table, ils l’ont choisi lui. En Espagne, les gens ont été un peu surpris aussi, mais finalement je crois qu’il les a bien aidés avec ses qualités.

Tu disais la Ligue 1 plus physique que la Liga. ¿Pensaste que no puedes explicar las dificultades de adaptación de tu compatriota Lionel Messi en el PSG?
Je crois que oui, surtout après quinze ans en Espagne. Aller Paris est un changement important, un processus qui doit suivre son cours. Mais je crois que la situación va s’améliorer parce que c’est un grand joueur. Surtout avec le Mondial qui llegue la fin de l’année, il voudra tout faire pour tre en grande forme.

Pour revenir toi, tu n’as jamais eu la chance d’être appelé avec l’Albiceleste. C’est un objectivo que tu as en tête ?
On a tous des rêves, on ne sait jamais ce qui peut se passer, d’autant que représenter son pays c’est… Je n’ai pas de nouvelles du sélectionneur Scaloni. Je le connais puisqu’on a joué ensemble Majorque, mais il ne m’a jamais contacté.

Petit, tu étais plus intéressé par le basket et le cyclisme que par le foot.
C’est vrai, j’ai commencé jouer au foot vers mes dix ans quand mon papa m’a amené au club. Avant a, je faisais surtout du vélo et un peu de basket avec mes sœurs. Au bout d’un moment je m’en suis lassé, et quand j’ai commencé jouer au foot, j’y suis resté. Je ne suis plus tant que a le cyclisme, aujourd’hui. Mais quand je rentre en argentina, je vais toujours manger quelques empanadas avec mes amis du club dans lequel j’étais. En basketball bien sûr, j’aimais beaucoup Nocioni, Ginóbili, c’est un sport qui a une place importante in Argentine également.

Tout est ensuite allé très vite puisque tu es parti Boca Juniors l’âge de 12 ans, quittant ta ville natale dans le nord de l’Argentine. Comentar l’as-tu vecu ?
a a été un grand changement pour le jeune garçon que j’étais, je me suis retrouvé vivre tout seul dans une résidence. La premire année a été très dure. Ensuite, mon papa a pu venir vivre avec moi et c’était un peu plus simple. Ces années m’ont appris tre responsable, me débrouiller seul. Je devais étudier aussi côté, parfois la nuit, passer les examens. Chez moi j’avais ma famille, mes amis, et là c’était totalement différent.

Tu t’imagines retourner en argentina un jour ?
No. Je suis vraiment bien ici avec ma famille. Je vais rester en Espagne jusqu’à la fin de ma carrière.

Propos recueillis de Tom Binet

Jacobo Briones

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