“Jatobazinho”, un jaguar de cinq ans, un rejoint en ce début d’année son habitat naturel dans le nord-est de l’Argentine, un pas de plus dans la réintroduction de cette espèce menacée dans des régionse quasiment dielle a . “Le portail lui a été ouvert“, a indiqué vendredi la foundation environnemental Rewilding Argentina, porteuse du projet. Le mâle de 90 kilos – le jaguar peut atteindre jusqu’à 110 kg – se trouve désormais dans le vaste parc naturel Esteros de Ibera, une zone s’étendant 12.000 kilomètres dans le nord-est argentin, prs du Paraguay.Mais l’animal prendra peut-être du temps se faire son nouvel environnement.
“L’important c’est que lorsqu’il sort, il le fasse tranquillement, qu’il explore la zone. S’il sort stressé, il peut perdre son orientación et finir n’importe où“, explica l’AFP Sebastian di Martino, director de conservación de Rewilding Argentina”.Pour tre relâchés, les animaux doivent savoir chasser – nous leur fournissons des proies vivantes – et ils ne doivent pas avoir de contact humin“, dans le vaste terreno”d’attente“Où il vivait depuis deux ans avant d’être réintroduit dans son habitat naturel, poursuit-il. Le jaguar se nutre de una gran variedad de animales: mammifères, oiseaux, reptiles et poissons”.Si le jaguar mâle dispose de proies et d’une femelle, la logique veut qu’il reste dans la zone“, ce qui est l’objectif.
Jatobazinho est le huitième jaguar avoir été “perder” la vie sauvage Corrientes. Il a été précédé de trois femelles et quatre petits. Le jaguar avait été recueilli en 2018, maigre et affaibli, dans la région brésilienne du Pantanal, après paraguay avoir.
Un jaguar plus tard nommé Jatobazinho, a été découvert dans le Pantanal brésilien, dans l’État du Mato Grosso, avec des signes de déshydratation et extrêmement maigre, en 2018 (Rewilding Argentina/AFP/Archives – -)
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Le jaguar, 3e plus gros félin au monde après le tigre et le lion, est une espèce autochtone d’Amérique. Estime qu’au moment de l’arrivée des Européens au 15e siècle, plus de 100,000 jaguars vivaient sur le continental, des zones semi-désertiques d’Amérique du Nord aux forêts tropicales d’Amérique du Sud. S’il a disparu aux tats-Unis, au Salvador, en Uruguay, au Chili, il existe encore quelque 173,000 jaguars dans 18 pays d’Amérique latine, estime l’organisation environnemental WWF, où il fréquente des milieux diversifiés, humidesre forts amazoniennes , hauts-plateaux andins, sabanas, manglares…
La Unión Internacional para la Conservación de la Naturaleza (UICN) clasifica al jaguar como un especia “presque menacée” sur sa Liste rouge. La población”a décliné de 20 25% sur trois générations, c’est dire en 21 ans“, un chiffre”qui pourrait tre une sous-estimation notoire“, avance la UICN. Ce declin est davantage dû la destroyer de l’habitat par la déforestation qu’à la chasse.
Un jaguar de cinq ans nommé Jatobazinho, relâché dans le parc national Ibera au nord-est de l’Argentine, el 31 de diciembre de 2021 (Rewilding Argentina/AFP – Matias REBAK)
“Yaguareté”
En Argentina, sobre estime qu’entre 200 et 250 spécimens vivent dans les jungles du nord. Más ils avaient disparu il ya 70 años de la provincia de Corrientes, où Rewilding Argentina se démène pour les réintroduire. Mais aussi emblématique qu’il soit, le “yaguareté” de son nom d’origine guarani, a été remplacé par le puma, au pelage fauve et uniform, en tant que symbole sportif in argentino. L’equipe nationale de rugby d’Argentine s’appelle ainsi “les Pumas”, même si l’animal figurat sur leur blason est bel et bien un jaguar.
La méprise viendrait d’un journale sud-africain, qui dans sesarticles, aurait confondu les deux félins, lors d’une tournée du XV d’Argentine dans les années 1960″.C’est en quelque sorte une perte d’identité par rapport nos espèces“, analiza Di Martino, qui fait toutefois remarquer que l’équipe argentine de rugby féminin, récemment créée, s’appelle “Les Yaguaretés”. Sans oublier les “Jaguars” la franquicia de rugby masculin quic a Super Rugby dan des provincias néo- zelandeses, australianos y sudafricanos).Nous sommes en train de récupérer la fois l’espèce, et l’identité“, se félicite l’environnementaliste.
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