L’Argentine ne parvient pas enrayer l’avancee du coronavirus

Público el 27 oct. 2020 9:00Por ejemplo, jour le 27 oct. 2020 17:25

Agir tôt et placer tout le territoire sous cloche afin d’éviter les scénarios l’européenne. En mars, quand le gouvernement assurait la « chance » d’avoir un temps d’avance sur l’hémisphère nord, rien ne permettait d’envisager le sombre panorama que connaîtrait le pays sept mois plus tard.

L’Argentine a dépassé le seuil symbolique du million de cas et avec plus de 29.000 décès, elle distancie la France, l’Italie et la Suède en nombre de morts par million d’habitants. La Suède : pays du non-confinement auquel l’Argentine s’est largement comparée, fière de son modèle d’isolement plaçant « la vie » avant « l’économie ». L’ambassadeur du pays nordique répondait au mois de mai, subtilement, que les comptes seraient faits plus tard. Des comptes d’ailleurs bien difficiles suivre. L’université d’Oxford decidió retirarse de la Argentina de su base de donnees face au manque de fiabilite.

límite de puntos

«Observe que dans toutes les provincias il existen différents endroits où la saturation atteint un point limite», a admis le president Alberto Fernández (centre gauche), vendredi, en prolongeant les mesures d’isolement de façon différenciée selon les régions jusqu’au 8 de noviembre. Dans Buenos Aires et sa grande banlieue, où s’est étiré le confinement plus long du monde , les connections ont largement été assouplies mais une série d’interdictions pèsent toujours : il est illégal de se rendre chez re dérérventments et relics quasiment de l’ imposible. A l’échelle nationale, seule une poignée d’élèves a renoué avec l’école après plus de sept mois sans cours présentiel laissant présager le coût pédagogique dans un pays où un les loudéjétribut payent. Six enfants sur dix pourraient vivre dans la pauvreté d’ici la fin de l’année.

Ce qui se passe est honteux. On ne teste pas assez.

«Ce qui se passe est honteux», fustige Silvia González Ayala, infectóloga de la Universidad de La Plata. « On ne teste pas assez, on ne cerne pas assez les cas contacts des personnes infectées », relève-t-elle. Longtemps encerclé dans Buenos Aires et sa grande banlieue, le virus avance maintenant presque partout notamment dans des régions l’infrastructure sanitaire encore plus vacillante que celle de la capitale. « Les premires semaines du confinement ont servi équiper les hôpitaux, mais ce sont maintenant les moyens hummains qui manquent et on ne peut pas rattraper ce qui n’a pas été fait pendant des décennies », remarque l’infectiologue. Dos années de récession et les conditiones budgétaires d’un pays émergent ont mécaniquement limité la riposte sanitaire. « La communication du gouvernement a toujours été inadéquate : au lieu d’utiliser la peur, il aurait dû apprendre la population tre responsable »poursuit la especialista.

Tarifas de descuento

En première phase de pandémie, deux mesures clefs ont été ratees pointent l’ensemble des experts : l’isolement des voyageurs revenant de l’hémisphère nord et la prevention dans les bidonvilles où le virus s’est largement engo. Le pays aussi dû composer avec des conditions de base defavorables : un habitant sur dix vit dans des quartiers précaires, 40 % des travailleurs évoluent dans l’économie informelle et dependent de leurs sorties quotidiennes pour subsister.

Des traits commons l’Amérique latine qui, en dépit de stratégies diversitys selon les pays, affiche le bilan le plus mortel au monde. Dans la région, l’Argentine limite – otra vez – la mortalidad en proporción de sa población, en comparación du Pérou, du Brésil ou de la Bolivie qui figurent tout en haut de ce funeste tableau mondial.

Martín Baca

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